Rencontre de la Gazéification Hydrothermale en Région Auvergne-Rhône-Alpes

GRTgaz et les pôles de compétitivité Tenerrdis et Axelera organisent une rencontre dédiée à la Gazéification Hydrothermale en Région Auvergne-Rhône-Alpes. Une matinée qui vous permettra de découvrir cette nouvelle technologie vertueuse pour traiter et valoriser les déchets organiques humides en biogaz, eau, métaux et fertilisants.

Rencontre sponsorisée par

 

 

Contexte

Cette journée fait suite au webinaire du 11 avril 2022, où vous étiez plus d’une centaine d’inscrits. Cette journée s’adresse aussi bien aux collectivités territoriales, qu’aux industriels (chimie, papier agro-alimentaire), opérateurs de la gestion et de la valorisation des déchets ou encore gestionnaires d’unité de méthanisation et bureaux d’études.

Cette rencontre sera également l’occasion pour vous de comprendre les enjeux autour de cette nouvelle voie de traitement et de valorisation de vos déchets humides, comment la filière se structure et s’industrialise ; et d’échanger avec les experts du secteur.

Programme

9h30 – Accueil café

10h00 – Introduction par les organisateurs Tenerrdis , Axelera et mot d’accueil du Sponsor GRTgaz

10h10 – Quel potentiel de la gazéification hydrothermale en France ?

Session de questions/réponses

11h00 – Comment la filière gazéification hydrothermale se structure-t-elle ?

Quelles solutions, challenges et perspectives pour les développeurs de technologies ?

Quels sont les projets de territoires qui émergent ?

12h00 Aide à l’innovation et à l’industrialisation : panorama des financements

Session de questions/réponses

12h30 Conclusion

12h40 Buffet et networking

 

A propos de la Gazéification Hydrothermale

La Gazéification Hydrothermale (GH) est un procédé de conversion thermochimique à haute pression (210 à 350 bars) et haute température (360 à 700 °C) s’adressant tout particulièrement à des déchets organiques humides. La technologie permet de traiter de nombreux déchets de biomasse en détruisant les composants nuisibles (virus, pathogènes, …), en préservant au maximum les ressources valorisables tout en réduisant au stricte minimum la quantité des déchets ultimes (métaux, métaux lourds, inertes).

Elle est ainsi aussi bien capable de produire un gaz de synthèse riche en méthane (40 à 70%), hydrogène (5 à 30%) et CO2 (20 à 30%) que de récupérer la quasi-totalité du contenu initial de l’intrant en eau, métaux , sels minéraux (phosphore, potassium, …) et azote pouvant être transformés en fertilisants (N, P, K) biogéniques.